Narcolepsy Motel

Pendant 24 heures sans interruption, des interventions artistiques composent un espace-temps fictif, comme un état modifié de la conscience coupé du
monde extérieur.

Image Adam Palluch

Sur une invitation de Lucie Lanzini et Pierre Daniel

Avec les étudiant.es de Master, Atelier Sculpture, ArBA Esa Bruxelles : Louise Assouly, Elio Azan, Luka Barrier, Zoe Brisset , Sara D’Armetta, Lucie Declercq, Eymerick Djiracko , Claire Ettwiller, Eden Hecht, Jule Martin, Oriane Molinie, Clara Louis, Lou-Anne Pomme, Celine Prignon, Alexia Rogiest, Eleonore Soler, Annie St-Aubin, Moreani Vandenhaute, Armand Verlooy, Louise Zangato

Artistes invité.es: Danseur.euses collectif ZAD, Jayts, slutmachete, Corentin Boubay, Guillaume Hervy

Image Adam Palluch

Iels se donnèrent rendez-vous quelques semaines avant le début de leur voyage. Leur première décision collective avait été de s’engager vers une autre forme de collaboration, de concevoir d’autres fonctions pour les objets et volumes qu’iels avaient pour habitude de réaliser. Leurs 24 heures au Motel devaient leur permettre d’expérimenter; d’habiter un intervalle dans lequel le groupe vivrait autrement; en prise avec les métamorphoses et les apparitions; la réalité et l’imaginaire; les rencontres hybrides avec les autres voyageur.euses; les traversées de sons, de lumière, de mouvements divers. Iels imaginaient créer un nouvel alphabet. Au Narcolepsy Motel, iels pouvaient enfin tordre le cou à l’espace et au temps.